Guerres & Histoires, le nouveau trimestriel de la gamme Science & Vie, met l’accent sur les principaux conflits qui ont marqué notre histoire. Il s’attache ainsi à livrer une explication claire sur les protagonistes des grandes guerres, leurs stratégies et leurs technologies d’armement.
Et pour six mois de vie en plus…
Guerres & Histoires
LES DERNIERS SOUBRESAUTS DE L’ÉPOUVANTAIL • Dire que la Wehrmacht a longtemps fait peur est un euphémisme. Constater qu’elle a encore des griffes et des crocs après l’effondrement de l’été 1944, c’est rendre compte de la vingtaine de contre-offensives qu’elle continue de mener. Puis la machine militaire se détraque, sombre dans le chaos… et ne fait plus illusion qu’en sacrifiant ses soldats par centaines de milliers.
Ersatzarmee, un vivier moribond
La Waffen-SS phagocyte l’armée
Volkssturm, la milice des rebuts
La Luftwaffe, du drame à la tragédie
La Wehrmacht en panne sèche
WESTFRONT
MARKET GARDEN, SEPTEMBRE 1944 : UN BOND TROP LOIN • Météo désastreuse, coups du sort à répétition, négligences, chef suprême bouffi d’orgueil… Les explications conjoncturelles ne manquent pas pour expliquer le « magnifi que désastre » d’Arnhem, au risque d’occulter l’essentiel: le fiasco est lié à la conception même de l’opération. L’arme aéroportée n’est tout simplement pas faite pour gagner seule une bataille. Et encore moins une guerre!
«Chez soi pour Noël», l’autre rêve foudroyé de « Market Garden »
Pont trop loin, Allemands pas prêts… mais prompts à réagir
ESCAUT, 2 OCTOBRE-8 NOVEMBRE 1944 : UN PORT TROP TARD • « L’histoire de l’ouverture de l’Escaut est longue et déplaisante», résument sobrement les annales de l’armée canadienne. Ces cinq semaines de « combats difficiles, acharnés et coûteux» ont d’autant plus marqué sa mémoire qu’elles auraient sans doute pu être évitées.
Monty, premier responsable du fiasco
HÜRTGEN, SEPTEMBRE-DÉCEMBRE 1944 : LA GRANDE MÉCHANTE WEHRMACHT DÉVORE LE PETIT CHAPERON HODGES • « Promenons-nous dans les bois… » Le 19 septembre 1944, la 1re armée américaine se lance dans la forêt de Hürtgen, conquête supposée facile et censée sécuriser l’avance vers le Rhin. Mais le loup y est, et il a sorti son Panzerfaust. Quand l’offensive des Ardennes met fin à la bataille le 16 décembre, les GI n’ont toujours pas pris l’objectif.
POCHES DE L’ATLANTIQUE : LES DERNIERS CARRÉS DU IIIe REICH EN FRANCE • Si l’Occupation se termine entre l’été et la fin 1944 pour l’immense majorité des Français, les forces allemandes s’accrochent à Royan, Lorient, Dunkerque et d’autres bases navales jusqu’à la capitulation du Reich… et même au-delà. Un baroud sans issue, mais aux conséquences dramatiques pour les habitants « empochés».
Une terrible épreuve pour les civils
SCIENCE & VIE LANCE NOUVEAU SON INCUBATEUR !
ARDENNES, 1944 ENTRE LES CROCS DU JAGDTIGER • Le 23 décembre 1944, il ne reste que 9 km à parcourir aux tanks du major Albin Irzyk pour tenir le pari de Patton: libérer avant Noël les paras américains encerclés dans Bastogne. Mais les forêts ardennaises sont fréquentées par de monstrueux félins, armés de l’antichar le plus puissant de la guerre… Et bien décidés à faire la peau aux Sherman.
Jagdtiger contre Sherman : la faute à pas de chance
Dix jours de combats acharnés
L’AVIS DE LA RÉDACTION
Staline tire les marrons du feu des Ardennes
MODEL, LA BRUTE FINALE • Chargé d’éteindre les incendies qui s’allument sur tous les fronts en 1944-1945, le pompier Model incarne l’officier nazi prêt à sacrifier sans scrupule ses dernières recrues pour retarder l’inéluctable. Si sa brutalité lui...